Dans la majorité des cas les catastrophes naturelles génèrent d’importants dégâts. Faites connaissance avec les dispositions couvertes et les démarches pour se faire indemniser en cas de sinistre. Mais avant, il faut savoir ce qu’est une catastrophe naturelle.
Une catastrophe naturelle, c’est quoi ?
Sont considérés comme étant des catastrophes naturelles les faits rares qui se produisent à un moment donné comme les inondations, les écoulements de boue, la sècheresse, éboulement de terrain, les avalanches ou encore les tremblements de terre. Ces évènements sont considérés automatiquement comme étant des catastrophes naturelles quand ils se présentent sous une intensité particulière et que les autorités locales ou nationales décrètent des mesures de sécurité pour les prévenir.
Les offres de garanties à la suite d’une catastrophe naturelle
Au cours des dernières décennies, les catastrophes naturelles comme les inondations, les intempéries ou encore les tremblements de terre sont de plus en plus dévastatrices et fréquentes. Selon un chiffre publié par une agence privée, les frais relatifs à ces évènements ont atteint les 500 millions d’euros. Toutes les victimes des catastrophes naturelles bénéficient des indemnisations selon la loi du 13 Juillet 1982. Toutefois, il faut que ces dernières aient souscrits une assurance multirisque auprès d’une compagnie. La garantie est uniquement destinée aux biens immobiliers, aux voitures et aux meubles. Par contre, les sinistres au niveau des plantations et les recours à une expertise par l’assuré ne profitent pas d’une indemnisation. Que ce soit pour un particulier ou une société commerciale, les garanties sont toujours identiques à la suite des intempéries. L’assureur habitation ne prendra en compte que les sinistres matériels sur le bien et les mobiliers.
Les actions à entreprendre après une catastrophe naturelle
L’une des premières étapes à réaliser après des dommages relatifs à des catastrophes naturelles est d’informer la compagnie d’assurance en envoyant à cette dernière une déclaration de sinistre. Cette information peut être effectuée par l’envoie d’une lettre recommandée, par un appel téléphonique mais le meilleur moyen est d’aller directement et physiquement chez la compagnie. Il est préférable de contacter le plus tôt possible le responsable au niveau de l’assurance avant la déclaration du Journal officiel. Celui-ci renferme l’arrêté administratif qui constate l’état du sinistre. Cependant, l’assuré dispose encore de 10 jours suivant la sortie au Journal officiel pour accomplir la déclaration. Il est obligatoire d’effectuer cette veille juridique afin d’être toujours au courant des lois. A noter que toute déclaration doit être accompagnée par les justificatifs de l’estimation des dégâts.